Logiciels dans les écoles: ouverts ou fermés?

Carrefour-Éducation me demandait l’an dernier de rassembler dans un bref dossier « ce qu’il faut savoir pour être en mesure d’évaluer le coût des logiciels pour les écoles ». Ça n’avait pas été une mince affaire, mais voilà le résultat que ça avait alors donné.

Six mois plus tard, j’ai préparé pour Carrefour-Éducation une suite à ce dossier, dans le but d’explorer un peu plus les raisons qui pourraient motiver le choix de logiciels à codes sources ouverts (aussi dits, « libres ») par rapport à des logiciels à codes sources fermés (aussi dits « propritétaires ») dans le contexte du système scolaire.

Dans le même ordre d’idées, je me permets de signaler la publication récente d’une synthèse de plusieurs des études sur Linux dans le réseau scolaire québécois qui m’ont été utiles dans la préparation de ces dossiers. C’est sur le site du Réseau de télématique scolaire québécois (RTSQ). Aussi, cette carte de l’utilisation de Linux dans les écoles du Québec, qui nous est fournie par LinuxÉdu Québec.

3 réflexions sur “Logiciels dans les écoles: ouverts ou fermés?

  1. Merci pour ces deux dossiers (je n’avais pas lu le premier), ils sont très intéressants et apportent une perspective « de terrain » que je n’avait pas eu l’occasion d’entendre encore. Je suis particulièrement heureux de lire l’expérience de pingouin.ca et de toutes les activités autour de ce projet, je n’en revient tout simplement pas… Wow et bravo à Michel Desbiens.

    Comme information complémentaire au sujet de Linux, pas au niveau des coûts mais au niveau de la langue française: cette étude (PDF, 6.5mb). Je viens de la trouver (bien qu’elle semble avoir été rédigée il y a presque un an), je l’ai rapidement parcourue et bien qu’elle soit basée sur des versions antérieures, dresse un portrait optimiste mais réaliste de la situation du français avec Linux, très complet! Assez pour me motiver à créer un catégorie Linux sur mon carnet de localisation francophone

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