Les voeux du nouvel an du Soleil

J’ai été heureux de découvrir dans Le Soleil de ce matin un éditorial tourné vers demain plutôt qu’une autre rétrospective de 2003. Le texte est intitulé Le poids des rêves et est signé par Alain Dubuc. Quelques extraits:

« Le temps des Fêtes, et plus particulièrement le jour de l’An, est le moment des souhaits et des voeux, des projets d’avenir, le temps de rêver et de se projeter dans l’avenir. Ce qui est vrai au plan individuel l’est aussi au plan collectif. Une société a elle aussi besoin de rêver, de définir des projets ambitieux qui lui permettent d’évoluer et de repousser les frontières du possible. Une société qui ne rêve pas est une société qui stagne.

Cela exige de nos leader la capacité d’être porteurs d’une vision pour nourrir ce projet collectif. […] Le rêve, c’est ce qui fait la différence entre un gestionnaire et un leader. […]

Et voilà pourquoi, en guise de voeux, ce que nous pouvons vous souhaiter de mieux, au Canada et au Québec, c’est de retrouver collectivement, notre capacité de rêver. »

Il est seulement dommage que M. Dubuc ait omis d’étendre ces souhaits jusque sur la scène municipale. La ville de Québec aussi a bien besoin de rêves et de leaders pour se construire en prévision des prochains mois, années et décennies.

Et l’occasion est tellement bonne pour formuler ces rêves, avec le défi démographique auquel nous faisons face, la proximité des fêtes de 2008, la fusion récentes, etc.

Et les intellectuels ont un rôle bien important à jouer dans la formulation des rêves…

Laisser un commentaire