Beaucoup de débats intéressants ont été lancés dans les derniers jours. Je garde la trace de deux pour participation éventuelle quand le temps le permettra:
Par François Guité, sur Osmoze:
« En tant que société, combien investissons-nous dans l’éducation d’un enfant […] Avant qu’un jeune n’ait terminé ses études secondaires […] cela fait plus de 110 000 $. […] Considérant l’ampleur de cet investissement, comment expliquer que l’on ne dote pas chaque élève québécois d’un ordinateur portatif ? »
Par Yvan Lessard et Steve Quirion, dans la liste Eduressource:
« J’ai fait se matin une p’tite montée de lait ou poussée d’urticaire, appelez-ça comme vous voulez…Il s’agit des projets ou applications présentés afin d’intégrer les TIC à l’école. J’ai vu des choses dernièrement… L’utilisation de Photoshop par les profs, confectionner une activité programmée en flash au préscolaire et au primaire ! L’utilisation de la cam vidéo numérique au préscolaire… Tu veux publier sur le web, installe toi un Spip ! Et j’en passe… […] Ça n’a pas de sens ! […] la grande majorité des enseignants […] ont besoin de choses simples, de produits et de services faciles d’exploitation et rentables au niveau pédagogique. » (Y. Lessard)
« Je suis d’accord YvanŠ J’ai orienté presque toutes mes formations et documents en univers social vers l’utilisation du traitement de texte cette année et j’ai pas encore fait le tour de toutes les possibilités. » (S. Quirion)
La tyrannie du savoir en éducation : trop d’enseignants sentent le devoir, lorsqu’ils font une découverte, d’en accabler les élèves. Et cela est particulièrement vrai au regard des nouvelles technologies. Pour un usage intelligent des TIC, il faut d’abord accorder le sujet, la finalité, et le moyen.
http://carnets.ixmedia.com/remolino/archives/002075.html
Après un an, on voit que vous ne comprenez rien d’internet et des communautés en ligne.
Pitoyable.
Au cas où le précédent commentaire me serait adressé, ce qui est bien possible considérant que mon propos aurait dû être plus élaboré (et j’accepte volontiers le reproche), il semble par ailleurs que la seule chose « pitoyable » ici soit la logique. Qui a dit que la finalité à laquelle je fais allusion n’est pas précisément l’élargissement de la communauté, la démocratisation de l’expression, le choc des idées, ainsi que l’incitation au dialogue dans un esprit d’apprentissage et de construction partagée que sans doute vous préconisez. Mais si on veut y arriver, je crois qu’il faut d’abord apprendre à se respecter.
Pour clarifier les identites: ce n’est pas le perlhttpd qui etait en charge de pssst! qui a ecrit le message precedent contrairement a ce que l’on essaie de faire croire (perlhttpd, c’est moi).