Vraiment en vrac… pour que ça arrête de me congestionner les méninges, voilà quelques idées jetées éparses, au sujet des carnets, des agrégateurs, de leur potentiel et de leurs limites actuelles dans l’organisation de mes idées… et de celles des élèves à qui on souhaite permettre d’utiliser pareils outils dans une démarche d’apprentissage.
* * *
J’ai eu hier après-midi une bonne discussion avec Pier-Hugues au sujet des agrégateurs et de leur relative faiblesse pour organiser les contenus qu’ils sont si efficaces à rassembler. Autant c’est épatant de voir qu’un outil aussi simple permet de suivre continuellement des centaines de sites dont les auteurs alimentent ma réflexion sur l’éducation et les TIC (tantôt par des apports théoriques, tantôt par des expériences concrètes), autant c’est désolant de voir que tout ça tombe « comme dans un trou » après lecture.
NetNews Wire Lite portait à mon attention le contenu des fils RSS, mais c’est hors de l’agrégateur que je devais par la suite classer le fruit de la récolte (par des signets, dans mon navigateur, par des notes dans une base de données, par des inscriptions dans mon carnet, etc.). Et si j’avais besoin de retrouver un texte que j’avais vu la semaine précédente, qui n’avait pas attiré mon attention, mais qui devenait important dans un autre contexte… ben, c’était pas facile.
Shrook fait un peu mieux: il archives le contenu des fil-rss, permet de les regrouper dans des groupes et des smart groups (dans la logique des « bibliothèques » de OsX, comme dans iTunes, etc.), m’offre des filtres pour que les textes qui répondent à telles ou telles caractéristiques soient prioritairement portés à mon attention, et un outil de recherche… un peu minimaliste, mais quand même très utile. Shrook est un peu lourd, mais il me permet de dompter une très impressionnante quantité de contenus continuellement mis à jour. C’est déjà un net progrès.
Reste qu’au bout du compte, ce dont j’aurais besoin c’est de pouvoir associer des descripteurs personnels à chacun des éléments que me rapporte l’agrégateur.
Je voudrais pouvoir dire du troisième texte parmi les cinq que Stéphane a écrit depuis hier, qu’il est utile pour ma réflexion « sur les carnets en milieu scolaire » alors que le troisième des textes de Mario est particulièrement pertinent dans le contexte de ma réflexion « sur la cité éducative ». J’aurais besoin de pouvoir annoter ces « blocs de constructions de ma réflexion ». Je ne suis certainement pas le seul à avoir ce besoin, mais on dirait que ceux et celles qui se sont mis aux commandes du développement de agrégateurs ne sont pas des gens qui « mènent des réflexions », ce sont probablement plus des « info geeks », qui se servent de leur agrégateur pour « être à la fine pointe de l’information ». Ils « consultent » de l’information. Ils ne « l’organisent » dans le cadre de projets ou de démarches personnelles de réflexion.
Personnel et collectif à la fois
Je pense que si on veut tirer profit de cette technologie dans un contexte éducatif (scolaire ou pas), il faudra qu’on participe au développement d’outils beaucoup plus puissants en terme d’organisation personnelle d’information. Et quand je dis « personnelle », je ne veux pas dire « individuelle », parce qu’il faudra précisément que ces outils nous permettent de tirer profit « de la force du groupe » pour organiser cette masse d’information.
C’est précisément ce qui me plaît dans l’univers des carnets. Movable Type se présente comme un « Personnal publishing system ». C’est un outil personnel de publication, mais c’est un outil qui, par sa manière de publier, a pour effet de nous fait entrer dans des réseaux de gens qui s’intéressent à des sujets semblables aux nôtres et qui, par leurs réflexions, viennent alimenter (et modifier) la nôtre. C’est un outil personnel par lequel on accède à un espace collectif (via une forme de participation périphérique légitime). Un outil que je peux aménager à ma manière: je définis mes catégories moi-même, etc.
Je le disais à Christine plus tôt cette semaine, ce qui me fascine depuis plusieurs mois, c’est le triangle « carnets-fil xml-agrégateur ». Juste les carnets, bof. Juste les agrégateurs, bof. C’est l’intégration de l’un et de l’autre, via les fil xml qui devient intéressante.
Juste les carnets…
C’est ce qui me déçoit beaucoup dans l’univers des gens qui utilisent SPIP actuellement. Ils mettent trop l’emphase sur la publication. L’écriture devient le plus souvent un « résultat », alors que dans la dynamique de Movable Type, l’écriture est véritablement un « processus de communication ». J’écris dans mon carnet parce que des gens sont susceptibles de commenter ce que je fais et de m’aider à avancer dans ma démarche. Je n’écris pas pour « témoigner d’un résultat prétendument final ». D’où, probablement, le fait que même si SPIP génère « par défaut » des fils xml… les interfaces publiques ne les mettent que très rarement en évidence. La dimension « réseau de collaborateurs » pour soutenir le processus d’écriture est secondaire… l’hypothèse étant que le réseau de collaborateurs est connu au préalable, et que chacun de ses membres a un accès aux zones restreintes de l’outil qui sont destinés à la collaboration (à la manière d’un comité éditorial).
Je caricature un peu, mais c’est plus qu’une boutade. Ce n’est pas banal si SPIP a été développé par l’équipe du Monde diplomatique dans une perspective d’édition d’un journal en ligne. L’outil a été fait pour « cacher le processus d’écriture » (qui se fait dans des espaces à accès restreint) et pour ne rendre public que le résultat de la démarche de rédaction. Alors que dans la logique de Movable Type, l’intention est inverse: rendre publique l’écriture comme un processus constant qui se fait dans un espace où la réflexion est le fruit d’une négociation collective de sens et où l’usage qu’on fait des bouts de réflexions de l’un ou de l’autre est soumis au jugement des pairs au même titre que le résultat final de la démarche.
Juste les agrégateurs…
À l’inverse, l’utilisation seule des agrégateurs n’est que d’un bien faible intérêt dans une démarche de réflexion ou d’apprentissage. La quantité de contenu qui me passe entre les mains est telle que si je ne peux pas « interagir avec celle-ci », je risque de perdre progressivement le contact avec cette masse croissante d’information… peut-être jusqu’à me sentir « étranger » à ce bouillonnement au lieu de m’y insérer progressivement comme un acteur.
Dans ce contexte, la killer app ce sont certainement les fils xml, qui permettent de faire le pont entre mon espace d’écriture-réflexion personnel et l’espace collectif dans lequel mon écriture me permet de m’intégrer…
Alors… qu’est-ce à dire… Résumons:
Movable Type, par exemple, est un outil d’écriture qui est intéressant parce qu’il met l’emphase sur le contenant plutôt que sur le contenu et que par son fonctionnement même, il a pour effet de me faire entrer dans un réseau de penseurs. En ce sens, il accompagne le processus d’écriture, mais n’offre que très peu de soutien à la rédaction en tant que tel (comme iTexte le fait admirablement, par exemple, avec ses « banques de formules », « plans de structures », « trucs de styles », etc.).
Force: fait de l’écriture un processus ouvert, qui se déroule dans un espace public/collectif.
Faiblesse: accompagne très peu le « rédacteur » qui est aux commandes du processus d’écriture. Il ne soutien pas l’effort de rédaction.
En fait, en l’écrivant, je me rends compte que la clé est probablement précisément cette distinction que l’univers des carnets amène à faire entre la rédaction (mettre en mot) et l’écriture (formuler les idées, grâce à la rédaction, qui devient un geste).
J’aimerais donc avoir un outil comme Movable Type, mais qui accompagnent un peu plus le rédacteur. À la manière de iTexte, par exemple.
J’ai un excellent « système de publication personnel », j’aimerais avoir un meilleur « système de rédaction personnel ».
Shrook est un pas pire outil pour alimenter ma réflexion, mais il est très mauvais quand vient le temps d’organiser les idées qui me parviennent grâce à lui. C’est un excellent radar, sans plus. J’ai peine à comprendre comment le monde des agrégateurs peut être encore distinct de celui des bases de données! Comment est-il possible d’avoir un entonnoir aussi efficace sans avoir une base de données pour traiter tout ça au bout!
Et alors…
J’ai donc besoin d’un agrégateur qui fait en sorte que chaque élément des fils xml auxquels je suis abonnés tombent dans une base de données comme File Maker qui me permettra ensuite de les organiser à ma convenance. En associant chaque élément à des documents en cours de rédaction, à des projets, à des réflexions en cours, etc. D’annoter sommairement chacun, etc. Et de les archiver de manière ordonnée (en fonction de mes propres catégories), évidemment.
Sur cet agrégateur-plus devrait être branché un système de rédaction du type iTexte qui, puisant dans les données de l’agrégation (maintenant organisées) m’aiderait à exprimer clairement mes idées, mais qui au lieu de faire de mes réflexions des documents locaux (enregistré sur mon site), les publierait sur le Web dans un espace de type carnet… Là ce serait pas pire pantoute.
La cerise sur le sunday, ce serait que l’agrégateur-plus, permettent de diffuser (par fil xml, évidemment) des infos sur la nature de l’organisation que chacun fait des éléments bruts de l’agrégation. En d’autres terme, que je puisse savoir, dans mon voisinnage intellectuel, comment les gens ont inscrit cet élément dans leur réflexion.
Pourquoi pas imaginer un serveur central (ouvert), partagé par un groupe de personnes qui ont le goût de travailler spécialement ensemble et dans lequel, via des fils xml, les agrégateurs-organisateurs viendrait « reporter » des informations sur l’organisation des idées de chacun.
Si Mario publie un texte et que Stéphane le classe dans ses « très intéressants » et l’annote… et que moi je fais la même chose, pourquoi, est-ce que cette richesse ne serait pas rassemblée à un endroit sur le Web pour qu’on puisse ultimement voir que le texte de Mario a été jugé intéressant par trois personnes sur cinq et que la plupart des gens y ont associé les mots-clés suivants, et estimés que c’était une opinion. Ouain… encore un peu flou…mais je pense que c’est un peu là que s’établissent les liens avec l’univers de Knowledge forum, etc. En soutenant l’organisation collective de toutes ces données. KF le fait dans un environnement fermé, je pense que le pari consiste à le faire dans un environnement ouvert.
J’ai d’ailleurs passé la soirée d’hier à faire quelques tests avec FileMaker… j’arrive à importer des fils XML (version 0.91 seulement) avec des feuilles de style (XLS, je pense… outils trouvés ici…) et à réexporter le tout sur le Web sous forme de page Web qui sont le « résultat » de l’organisation que je fais des différentes entrées dans la base de données.
Exemple:
1. J’importe le fil xml des derniers textes sur le site de Mario. Chacune des entrées devient une fiche dans File Maker. J’ajoute des champs descriptifs de mon cru (catégories, annotation, etc.) qui viennent s’ajouter à ceux de Mario. C’est la partie agrégation-organisation. Ça ça marche bien. C’est l’étape où je remplace Shrook.
2. J’extrais de toutes ces notes seulement celles qui correspondent aux ajouts à ma réflexion sur la cité éducative depuis les sept derniers jours et je refais un fil xml (ou une page Web) avec ça pour mettre à la disposition de la communauté cette synthèse de mon organisation des idées qui ont été portées à mon attention au cours de la semaine. Ça ça marche à peu près bien. Avec de l’aide on y arriverait facilement, je pense. C’est une étape qui ne se fait pas actuellement.
3. Rendu là je dois écrire ce que je retiens de tout ça cette semaine. Et là, il y a très peu d’outils pour m’aider à rédiger mes idées. iTexte est un bon exemple. Il faut absolument développer des outils semblables. Mais il faut aussi absolument les brancher sur les agrégateurs-plus. À défaut de pareils super-outils, je prend un bon vieux traitement de texte avec ou sans idéateur (outliner) et je rédige, au mieux de mes compétences. C’est l’étape où on offre le soutien le plus faible aux élèves dans un contexte d’utilisation des carnets à l’école, il me semble.
4. Au bout du compte, au moment où je ferais « enregistrer » dans Ms Word ou, mieux, dans iTexte, je dois pouvoir publier « le résultat de l’avancement de ma réflexion » directement sur le Web pour le soumettre à la communauté… qui pourra commenter sur mon carnet, ou sur d’autres carnets… éléments de réflexions qui me reviendront par l’agrégateur-plus et que je pourrai « réassocier » à mon texte et à ma réflexion pour reconstruire « l’arbre des idées » qui se greffe à la mienne et qui en influence l’évolution.
J’arrête ici, je pense que je suis de moins en moins clair… mais ça m’a beaucoup aidé de formuler tout ça, dans une première version, très très en vrac, mais que mon voisinage intellectuel m’aidera sans doute à démêler!
Je suis tout à fait d’accord avec l’idée que nous avons besoin d’intégrer outils d’écriture et d’agrégration, en y ajoutant de plus des fonctions de répertoriage et d’archivage pour ordonner le lacis des discussions. Quelques idées pour alimenter le volet pratique de la discussion :
€ Voir DevonThink, principalement pour ses fonctions de recherche et d’indexation.
€ Il y a peut-être aussi quelque chose à tirer de la fonction de classification de sites Web de Safari quand on veut ajouter un lien (voir le menu déroulant).
€ Voir OmniOutliner pour les fonctions de hiérarchisation en mode plan.
€ FileMaker est effectivement une application qu’il vaut la peine de regarder avec soin : il serait possible, je crois, d’y intégrer des fonctions automatiques qui limiteraient un menu « répertoire d’archivage » étendu aux seuls éléments pertinents à la source d’information.
Je sais qu’on fabule au sujet d’un super outil, mais rien n’est impossible à long terme. À court terme, tâchons d’avancer un pas à la fois.
Pensée qui me vient comme ça sur le moment : est-ce que l’action concrète n’est pas le meilleur moyen de resserrer les liens à l’intérieur de cette communauté qui s’est formée et de canaliser quelque peu l’énergie qui y semble brûlante ?
Un mini-colloque qui s’annonce…
Grosse semaine de discussions au sein d’une portion de la carnetosphère éducative ! L’apparition de la ligne de code de Clément a déclenché bon nombre de réactions. Chaque amélioration apportée à la dynamique Movable Type/le XML/les fils RSS/agrégateur…
« Pensée qui me vient comme ça sur le moment : est-ce que l’action concrète n’est pas le meilleur moyen de resserrer les liens à l’intérieur de cette communauté qui s’est formée et de canaliser quelque peu l’énergie qui y semble brûlante ? »
Je suis *absolument* d’accord avec ça. Et c’est précisément la seule chose qui peut nous éviter des « dérapages » théorique sur l’instrumentation.
« Reste qu’au bout du compte, ce dont j’aurais besoin c’est de pouvoir associer des descripteurs personnels à chacun des éléments que me rapporte l’agrégateur. »
Newsgator permet de faire cela. Ce n’est pas mis au premier plan mais c’est possible de le faire en accédant aux propriétés de chaque billet. On peut créer/supprimer des catégories à notre guise, les assigner aux billets et faire des recherches selon ces différentes catégories. Jusqu’à présent, je ne me suis pas vraiment servi de cette fonction mais je vais y porter une attention particulière dans les prochains temps et je vous reviendrai avec mes constatations. Idéalement, ce qui pourrait faciliter le classement, ce serait que cette fonction soit accessible à partir du bouton droit de la souris (control-clic sur Mac).
D’autres idées peuvent être consultées ici:
http://carnets.ixmedia.com/stephane/archives/005050.html
SPIP a l’avantage de pouvoir mieux supporter la discussion par le fait qu’il supporte l’arborescence (threading).
Je reviens un peu plus tard avec des commentaires sur la suite de ton billet qui est, soit dit en passant, bien intéressant.
Aggrégateur de contenu, la prochaine génération
Quelques réflexions de Clément concernant les aggrégateurs, Je me mets une note pour lui répondre avec une solution que je dois d’expérimenter….
J’aime bien la distinction que tu fais entre SPIP et MT. Ceci étant dit, je trouve encore que les carnets sont un peu trop individuels à mon goût. Quand je viens sur ton carnet, je viens « chez vous ». Quand tu viens sur le mien, tu viens « chez nous ». Je trouve qu’une telle dynamique incite moins au travail collaboratif que d’autres outils.
Les textes que je soumets sur mon carnet sont inspirés de ceux que je lis chez toi. Ceux que tu écris sont inspirés des miens. C’est de l’interaction sociale à des fins d’apprentissages individuels davantage que de l’interaction sociale à des fins de construction collective. Il me semble qu’il pourrait y avoir un endroit mitoyen où nous pourrions y travailler ensemble. Un lieu davantage partagé. Une espèce de table de travail commune. Ça n’empêcherait pas d’avoir un espace plus personnel pour rapporter l’évolution de nos apprentissages en tant qu’individus.
« […]que je pourrai « réassocier » à mon texte et à ma réflexion pour reconstruire « l’arbre des idées » qui se greffe à la mienne et qui en influence l’évolution. »
Knowledge Forum permet de le faire par le biais de la fonction Rise-Above.
Je pense qu’il faut qu’on jette un oeil sur ça:
http://drupal.org/
Ça fait un moment que j’en entends parler… là, je veux voir!
À suivre…
Je seconde *entièrement* l’opinion de Stéphane quant à l’individualisme des carnets et le besoin de développer « un espace mitoyen » qui soit plus communautaire. Il voit juste également quand il reconnaît l’importance de maintenir la dynamique des carnets personnels.
Pour poursuivre dans ce sens, est-il faisable (et souhaitable) d’intégrer à la future génération des carnets un espace commun, un carnet communautaire partagé par les membres et facilement accessible aux invités ? Un fil de discussion pourrait y être ajouté soit après consentement de deux membres (il suffirait d’ajouter à cet effet une option sous forme de case à cocher) ou automatiquement dès que le sujet apparaît sur plus d’un carnet (quoique cela est sans doute plus difficile à réaliser techniquement).
Clément, as-tu jeté un oeil sur del.icio.us? (« Linklogging / Social bookmarking system »)
Voici ma page: http://del.icio.us/sebpaquet/
Caractéristiques: Sous-catégories personnalisées listées dans la marge de droite, fils RSS par personne et par catégorie, addition en deux clics à l’aide du bookmarklet. Indexation par catégorie aussi, lorsque les gens choisissent une même catégorie: http://del.icio.us/tag/education
Personnellement je pense que l’idée est révolutionnaire (même si le traitement n’est pas achevé) – ça fait partie de la seconde vague de la publication personnelle, celle qui inclut ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas écrire mais ont néanmoins des choses à partager.
Clément: Michel Dumais prend Drupal au sérieux on dirait…
Un moteur de recherche interne, mais élargi à la communauté d’un carnetier, serait un ajout fantastique, il me semble.
Pour se distraire et ajouter un élément de diversité à la discussion : cet article sur les blogueurs qui ont converti leur Newton en outil d’appoint quand ils sont sur la route. Une idée intéressante qui illustre l’ingéniosité des gens branchés.
Il m’est venu une idée ce matin, empruntée de plusieurs quotidiens en ligne, qui ajouterait certainement à l’organisation de nos échanges. Cela consiste à énumérer, à la fin d’un billet, les fils de discussion qui ont un lien indirect avec le sujet (par opposition aux liens directs intégrés dans le corps du texte). Voyez ce premier exemple.
Autre idée pour ajouter à la dynamique des carnets : ajouter au bas du billet, à côté de « commentaire », un indicateur de fréquentation. Non pas pour satisfaire la vanité du carnetier, mais dans une optique de mémétique.
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