Au sujet de la course de tacots à laquelle assistait Mario hier, on peut lire dans Le Soleil ce matin l’extrait suivant:
« [M. Rousse, l’initiateur du projet] se félicite particulièrement des effets « collatéraux » engendrés par le programme. Depuis son implantation, les jeunes lui envoient de plus en plus de courriels et de demandes d’aide pour des projets qui ne touchent pas nécessairement la construction des tacots. » Les élèves apprennent à reconnaître l’Université comme un lieu de service à la communauté « , dit le professeurs. Finie la ville dans la ville, l’institution apprend ainsi à ouvrir ses portes. »
C’est une très belle description du genre de situations qu’il faut multiplier dans un contexte de cité éducative.
Pour avoir plus d’information sur la Classique UL, dans Au fil des événements, dans Pluie de science ou sur le site du département de Génie mécanique de l’Université Laval.
Je crois que nous avons pensé la même chose en même temps !
L’école en course et Québec, Cité éducative
La course de tacots m’a fait grand bien. J’ai couru de bas en haut du boulevard René-Lévesque assez souvent pour me remettre les idées en place (remonter « le bolide » jusqu’en haut était à ma portée). Plus de cinq cent jeunes, plus d’une trentaine de « b…