
Quelle aventure! — c’est ce que je me dis spontanément quand je pense aux deux dernières années.
Deux années absolument passionnantes, avec l’extraordinaire groupe d’élu.e.s et de collègues qui forment l’équipe du cabinet de la mairie.
Au cours de ces deux années, nous avons dû découvrir, apprivoiser et maîtriser la complexité que ça représente de faire de la politique aujourd’hui.
Parce que ce n’est vraiment pas facile d’exercer la responsabilité du pouvoir politique dans un contexte où tout semble favoriser la polarisation et les controverses.
Ce n’est pas facile de privilégier le long terme, de miser sur le dialogue et la pédagogie. Pas facile de cultiver la conviction que les consultations et les débats peuvent faire naître des consensus, pas seulement confirmer ou amplifier les divisions.
Ce n’est pas facile, mais c’est incroyablement satisfaisant!
Tellement que deux ans plus tard, nous sommes plus convaincus que jamais de la force de cette approche. On constate tous les jours que c’est la meilleure façon de rassembler, de mobiliser et de responsabiliser. C’est la meilleure façon de faire en sorte que tout le monde se sente concerné par notre avenir collectif.
Il n’y a plus aucun doute dans notre esprit: il est toujours préférable d’avancer, au risque de se tromper et de devoir ajuster par la suite. Parce que devant tous les défis auxquels nous sommes confrontés, il faut chaque fois privilégier le mouvement, plutôt que le statu quo.
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Ma récente participation au dévoilement de la chaise des générations qui est destinée à l’Assemblée nationale m’a ramené à l’esprit la perception que j’avais de la politique québécoise il y a cinq ans. Très négative, pessimiste, cynique. J’avais l’impression que les gens se mobilisaient seulement contre les choses — et moi aussi.
C’est un énorme changement avec ce que je constate aujourd’hui.
Question de point de vue? Peut-être, mais je me réjouis tous les jours de voir de plus en plus de personnes et de groupes se manifester de façon positive: en faveur des choses. Je constate que de plus en plus de citoyens prennent l’initiative d’appuyer publiquement le maire et les conseillères et conseillers de Québec Forte et Fière pour défendre la pertinence de nos projets. Et ça fait une énorme différence. C’est extrêmement motivant.
Non seulement ça aide à faire naître des projets et les idées, mais je crois que ça change aussi profondément la psychologie collective. C’est stimulant. Ça donne du courage. Ça aide à croire que le changement et l’innovation sont possibles. Ça crée des conditions favorables pour envisager le futur de façon positive. Ça chasse l’anxiété paralysante.
On aspire même à ce que cette énergie et cet optimisme inspirent par-delà les limites de la ville de Québec.
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Il faut évidemment du courage pour se battre en faveur du tramway — contre vents et marées — et pour travailler à l’expansion des transports collectifs et de la mobilité active, parce qu’on croit à l’importance de transformer rapidement la mobilité partout dans la ville, tant pour des raisons économiques, qu’écologiques.
Il en faut aussi pour faire face à la crise du logement et aux changements que ça va impliquer dans l’aménagement de la ville.
Même chose avec le défi de soutenir le développement économique de la ville et l’accompagnement des entreprises, tout en préservant les milieux naturels et la biodiversité.
On est déterminé à faire preuve de courage pour stimuler le développement d’un nouveau tissu économique à Québec: l’économie circulaire, des technologies vertes et susciter des innovations dans la poursuite de la carboneutralité. Et faciliter du même coup l’émergence de nouveau leaders, hommes et femmes, pour notre ville.
On va travailler avec acharnement à revitaliser des rues commerciales délaissées et à soutenir celles qui donnent déjà vie aux quartiers où elles se trouvent.
Et on va mettre la même énergie à accompagner les grands événements culturels et sportifs qui contribuent à notre qualité de vie et au rayonnement de la ville partout dans le monde.
Et ce ne sont là que quelques exemples.
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Pour continuer avec encore plus de vigueur, on aura besoin de soutien. De toutes les formes de soutien.
Et oui — aussi de soutien financier.
C’est la raison pour laquelle je vous invite à faire un don à Québec Forte et Fière, et, si le cœur vous en dit, à participer à l’événement-bénéfice qui aura lieu le 15 novembre prochain.
Si vous partagez ma conviction, notre conviction, au sujet de l’importance d’une approche courageuse de la politique; une approche positive, qui donne envie de s’engager en faveur des projets, s’il vous plaît, soutenez financièrement notre engagement.
Je sais que plusieurs craignent de s’associer à un parti politique en faisant un don. C’est pourtant un geste démocratique sain, valorisé par notre système démocratique, qui est basé sur l’existence de partis politiques et qui accorde une place d’importance au financement populaire. Ce n’est pas un geste contre les autres partis politiques, c’est un geste d’encouragement à un groupe dont l’action vous semble importante. Vous pouvez même donner à plus d’un parti politique!
Il ne faut pas craindre de soutenir un parti politique. On devrait au contraire être fier de contribuer de cette façon à la vigueur de notre démocratie.
Alors, si vous êtes fiers du courage dont font preuve le maire, les conseillères et les conseillers, et toute l’équipe de Québec Forte et Fière, s’il vous plaît, ajoutez-y un peu de votre propre courage en cliquant ici pour participer à l’événement-bénéfice du 15 novembre, au coût de 100$, ou en cliquant plutôt ici pour faire un don du montant de votre choix.
Notez qu’il faut résider dans de la ville de Québec pour pouvoir faire un don.
Merci!
