Dans la suite des réflexions de la semaine dernière sur le contrôle des renseignements que nous sommes prêts ou non à partager pour joindre une communauté virtuelle, je retiens cet extrait de commentaire de Virginie Clayssen en rapport avec Babelio (un site à découvrir, par ailleurs):
« Que partager, pourquoi, et avec qui ? Est-ce que l’on ne fait que s’offrir soi-même en pâture aux marchands, en dévoilant ainsi sur le web ses goûts, ses lectures ? Qu’est-ce qui fait qu’on le fait quand-même, le sachant ? Quel avantage on va en retirer ? Quel intérêt ? Pourquoi cela m’a fait plaisir de voir que quelques personnes m’avaient ajouté dans leurs “bibliothèqes préférées” ? Pourquoi étais-je contente de voir que j’avais en commun pas mal de livres avec quelques personnes que je connais ? C’est bien sûr cette question-là qui est au centre de ces problématiques de “communautés virtuelles” »