Les orteils d’enfants qui dévalent l’escalier à la recherche d’œufs en chocolats. Victoriaville, 2012. Il y en avait partout, partout. La magie opérait encore. Et je pense qu’elle opérerait encore cinq ans plus tard! Les enfants croient plus longtemps au chocolat de Pâques qu’au Père Noël.
En 2010, on avait même eu affaire avec un œuf d’autruche. Un vrai!
On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, dit-on. Je ne sais pas si l’expression reste aussi appropriée si on parle d’œuf d’autruche. Faudrait demander à Gulliver.
Ou à Kim Yaroshevskaya, dont je viens tout juste d’acheter le livre. Elle nous inventerait sans aucun doute une très belle histoire autour de ça.
L’écriture nous réserve décidément bien des surprises.
Je réalise que je suis passé du kayak, hier, à Kim Yaroshevskaya, aujourd’hui… de façon totalement imprévisible!
J’aime ça.
Une réflexion sur “La course”