Des kilomètres d’écriture.
Québec, Montréal, Québec, Montréal…
Ce qui est merveilleux avec le train, c’est qu’on peut vraiment apprécier le paysage, s’en faire un décor. On peut se voir écrire aussi — la page se confondant avec les feuilles dans le reflet sur la fenêtre.
Ce matin-là, le décor a aspiré/inspiré mon texte.
Les feuilles automnales sont même un instant devenues l’écran sur lequel étaient projetés les mots à mesure que je les écrivais dans la fenêtre du logiciel de traitement de texte.
C’est ça écrire, l’automne, quand les feuilles tombent.
Ne reste alors que le texte. Et quelques questions.
On va bien finir par s’y croiser ;-)