En voyant ce pickup ce matin je me suis dit wow! c’est un personnage… c’est le début d’un road movie… non, d’un road… comment on dit ça pour un livre déjà… un road novel? mais en français?
Il m’a habité toute la journée. Le pickup. L’aventure. Le départ, l’inconnu, le roman. Il était là, lui. Pourquoi? Et l’était-il encore d’ailleurs? Et le serait-il la fin de la journée?
Il n’y était plus.
L’aventure avait commencé. Sans moi. Merde. End of the journey.
Je me suis rabattu sur Google. Road novel? comment on dit en français? Une question. C’est tout ce qu’il me restait de l’aventure (c’est quand même pas rien).
Road novel…
Roman-route…
« Genre né d’un roman signé par un écrivain… presque québécois… »
« Auto(mobile) fiction »
C’est tiré d’un texte de Pierre Monette (version pdf), extrait de Entre les lignes, le plaisir de lire au Québec, vol. 2 no 4, 2006, p. 30-31 / que j’ai pu consulter grâce à Érudit.
Un texte qui fait abondamment référence à Kerouac.
Kerouac, Jack Kerouac.
Celui en l’honneur de qui a été élaboré une bonne partie de la programmation du Festival de Jazz de Québec… qui commence dans quelques jours…
Le pickup, je pense que c’était Kerouac.
en français on dit « road-movie », il n’y a que vous les Québécois pour ne pas le vouloir