Marcher dans la ville.
Pour le plaisir. Pour la santé. Pour réfléchir. Pour discuter.
Pour aller à la librairie du coin ou pour aller à la rencontre d’un ami.
Pour la justice et la vérité aussi.
Humblement, ici, parfois.
Patiemment, là-bas — pendant 37 ans, sans jamais se décourager.
Bravo aux Grands-mères de la Place de Mai — et en particulier à la présidente actuelle du mouvement, Estela de Carlotto, qui a retrouvé hier son petit-fils, Guido!
J’ai eu l’immense privilège de voir les Grands-mères sur la Place de Mai, à Buenos Aires, il y a deux ans. C’était très émouvant — et le souvenir l’est encore plus aujourd’hui.