« Il y a des semaines comme ça…», c’est ce qu’on dit.
C’est une expression, bien sûr: une boutade. Sauf que dans la réalité des semaines comme celle-là il n’y en a vraiment pas beaucoup.
Au coeur de la semaine, il y avait un conseil d’administration de De Marque particulièrement important dont la préparation et les suites immédiates ont été spécialement mouvementées. Une réunion au terme de laquelle nous pourrons enfin accélérer la démarche de mise à jour de la vision stratégique de l’entreprise. Une réunion dont je ressorts également avec des responsabilités élargies.
Seule courte pause dans ce maelström professionnel, une soirée avec un ami… qui en a profité pour me rappeler à quel point le temps file… On devait se voir tous les mois cette année, mais ça n’a pas été possible. La dernière fois c’était fin février: « tu te préparais à être candidat, le Parti Québécois allait former un gouvernement majoritaire… et Pierre-Karl Péladeau était un homme d’affaire. »
C’est ça qui est ça. Le temps passe. Et pas toujours de la façon la plus prévisible.
Le clin d’oeil était d’autant plus amusant que j’étais plongé quelques jours plus tard dans l’opération de signature du bulletin de mise en candidature de PKP à la chefferie du Parti Québécois. Blitz d’une fin de semaine… Presque vingt heures d’engagement, avec un petit groupe de militants hyperefficaces. Ouf! Et dire que certains pensent que la politique c’est essentiellement une affaire d’idées… y’a de ça, évidemment (et heureusement!), mais il y a tellement de travail de terrain aussi.
Souper en famille dimanche soir, vers 20h, pour souligner la conclusion d’une fin de semaine qui n’aura finalement jamais existée…
Une chance que les vacances de Noël approchent à grands pas.
Parce que c’était ça ma dernière semaine de novembre.
Une réflexion sur “Ouf.”