Des bidons, il y en a aussi dans l’œuvre de José Luis Torres. Ici, lors d’une de ses participations aux Passages insolites, à Québec.
Des bidons, mais aussi toutes sortes d’autres objets de plastique coloré: kayak, glissade, poubelles, paniers, cônes. Autant d’autres témoins de la globalisation, de la (sur)consommation et de notre dépendance au pétrole.
Décembre approche. C’est la période de l’année où on consomme le plus: pour décorer, pour recevoir, pour offrir des cadeaux et faire plaisir.
Un Noël sans plastique, en 2017, est-ce que ça se peut? Probablement pas, mais ça peut — ça doit! — certainement être un objectif à poursuivre.
Autrement, l’appréciation des oeuvres de Torres et Hazoumè serait presque indécente.
The medium is the message.
Une réflexion sur “Beauté plastique”