J’ai pris le temps ce matin de survoler l’ensemble des entrées dans mes notes personnelles et sur mon blogue en 2022. Exercice de rétrospective.
Parmi les constats: quelques-uns des livres que j’ai lus au cours de l’année ont laissé une impression assez forte pour se mériter une référence dans ces notes.
Je les regroupe ici — pour le plaisir du partage.
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Gens du Nord, de Perrine Leblanc
Baldwin Styron et moi, de Mélikah Abdelmoumen
Là où je me terre, de Caroline Dawson
The Gatekeepers, de Chris Whipple
L’apiculture selon Samuel Beckett, de Martin Page
Les deux pieds sans plumes, de Pierre Morency
Nébulosité croissante en fin de journée, de Jacques Côté
Le rouge idéal, de Jacques Côté
Les épreuves de la vie, de Pierre Rosanvallon
Le courage de la nuance, de Jean Birnbaum
À la recherche du temps perdu, de Marcel Proust (toujours en cours!)
Impressions et lignes claires, de Edouard Philippe et Gilles Boyer
Réparer la ville, de Sylvain Grisot et Christine Leconte
D’images et d’eau fraîche, de Mona Chollet
S’abandonner à vivre, de Sylvain Tesson
Ça fait des semaines que je voulais te répondre avec quelques oeuvres qui m’ont marqué en 2022. Enfin voilà, je prends le temps.
L’Âge des transitions, Pascal Chabot
Où atterrir, Bruno Latour
Julien Hébert: Fondateur du design moderne au Québec, Martin Racine
La vie algorithmique : critique de la raison numérique, Éric Sadin
et un petit dernier
Underground Railroad, Colson Whitehead
Merci Marc, je n’en ai lu aucun… je pense que je vais commencer par Colton Whitehead.