Ce devait être la Gaspésie, ça aura été Chicago et Toronto. Les prévisions météorologiques nous ont fait changer nos plans et partir vers l’Ouest.
Ce qui est bien quand on roule seize heures (deux fois) c’est que ça offre du temps pour réfléchir. Les yeux fixés sur la route, on peut analyser bien des idées — longuement; faire et défaire bien des projets — interroger le présent, interpeller le futur.
À travers ça, j’ai écouté sur la route Le tour du monde en 80 jours et une partie de Cinq semaines en ballon (merci LibriVox). J’en ai évidemment profité pour penser au texte que je dois bientôt écrire à Jules Verne concernant la prochaine réunion de mon conseil d’administration virtuel.
J’ai trouvé Chicago particulièrement stimulante. J’en reviens la tête pleine de belles images et avec une longue liste de documents à lire et d’idées à explorer.
Explorer en famille deux métropoles en huit jours — essentiellement à pied — en plus de visiter une dizaine de musées — ça remet du carburant dans les neurones et dans les fibres musculaires pour plusieurs mois.
J’ai écrit beaucoup aussi en vacances — tous les soirs — comme lors de chacun de nos voyages en famille. Et ça m’a fait le plus grand bien. De retour, j’ai pris la résolution d’écrire pour moi, tous les jours, au moins quelques mots. Je l’ai dit bien des fois, mais cette fois ce sera la bonne. Ma résolution est totale. J’ai téléchargé une petite application pour m’aider: Day One. Certains textes écrits là trouveront leur chemin jusque sur mon blogue, d’autres pas. D’autres prendront peut-être éventuellement d’autres formes.
bon retour à toi et à la famille ! Il faudra qu’on se revoit bientôt !
tu vois pas qu’on t’édite à publie.net un de ces 4 ? – avais perçu ce dynamisme à Toronto, me fait regretter les 8h manquantes pour Chicago…