Quel extraordinaire plaidoyer pour l’écriture:
« Quand j’ai la possibilité d’écrire beaucoup dans ma vie, je deviens vraiment un meilleur humain: je suis plus zen, j’ai une meilleure acuité, une plus grande énergie, j’ai besoin de courir vraiment beaucoup, comme si j’exultais. Après, si j’écoute de la musique, j’entends mieux les sons. J’ai tendance à remarquer des choses que je ne remarque jamais. Comme si toutes mes petites antennes étaient sorties. »
Merci à Marie Hélène Poitras. À lire dans Le Devoir d’aujourd’hui: