C’était en février. Fin d’un des premiers jours de soleil un peu chaud. Dans l’autobus, de retour du bureau.
Kundera élégamment posé sur le genou dénudé d’une jeune femme.
L’insoutenable légèreté de l’être.
Lire dans les transports en commun, c’est parfois très sexy.
Une réflexion sur “Lire vous transporte”