Wake up call!

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Bon, ben, je pense que le plus important à partir de maintenant c’est de déployer tous les moyens à notre disposition pour que la démocratie québécoise ne suive pas la pente dangereuse que nous venons de constater chez nos voisins du Sud.

Qu’est-ce que ça veut dire, concrètement? Je ne suis pas sûr de le savoir ce soir.

Mais s’il y a une chose que je sais: la politique telle qu’on la fait actuellement, ici aussi, nous met plus en danger qu’elle nous protège d’un désastre comme celui-là.

Je me couche envahi par un profond sentiment d’urgence.

2 réflexions sur “Wake up call!

  1. Bonjour Clément, je suis allée me coucher à 3:00 heures ce matin, en ayant entendu à peu près trois minutes du discours de M. Trump. La musique annonçant son arrivée en disait déjà long sur ce champion (il a été introduit ainsi). J’ai écouté l’émission de Paul Arcand ce matin et je constate que chacun à notre façon essaie de comprendre à chaud ce qui s’est passé, ce qui se passe, voire ce qui se passera. Bien que les médias et les maisons de sondage auront leur propre bilan à faire, il y a également des questions que devra se poser le camp Clinton (et j’en suis bien désolée, crois-moi). Où étaient les supporteurs de Bernie Sanders au jour du vote? A-t-on fait quelque chose ou suffisamment pour les retenir? Est-il encore possible de gagner une campagne de façon plus traditionnelle, où la prudence ne laisse que peu de place à l’audace et à l’opportunité? Quel a été l’impact du rôle du FBI dans le dernier virage de la campagne? Et la dernière question que je me pose, mais non la moindre, nos voisins du Sud, tout comme nous, étaient-ils prêts à élire une femme? Quand un peuple est prêt à tout essayer, même le pire, il y a péril en la demeure.

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