L’été est à nos portes. L’année a été mouvementée. J’avais prévu écrire plus. Je l’ai assez peu fait. Je souhaite le faire plus cet été. On verra bien.
Tellement de choses sollicitent mon attention —
— mais l’urgence, à cette période de l’année, c’est de ralentir.
C’est d’ailleurs ce que rappelle ce texte, que @froginthevalley a porté à l’attention de son réseau aujourd’hui. Je l’en remercie.
Prendre le temps de jouer dehors (soirée de tennis!), de lire (13 heures, de Deon Meyer), et de bien manger (pâtes et pizza maison dans les derniers jours) — idéalement avec la famille et des amis. Le temps de réfléchir aussi — sur ma société, la politique; sur mon entreprise, son plan d’affaire — et sur les liens qui unissent ces différents aspects de ma vie.
C’est dans ce contexte que j’ai pris le temps d’écrire un petit mot à Mario ce matin — lui qui s’engage dans une période de grands bouleversements (voir le commentaire #6, au bas de ce texte).
C’est dans ce contexte que j’ai pris quelques minutes pour une conversation avec une amie ce midi, au soleil, de façon toute à fait imprévue — juste avant une réunion.
C’est aussi dans ce contexte que j’ai apprécié lire ce texte de Jean Trudeau, qui entreprend par la même occasion de réanimer son blogue: bonne nouvelle!
Ralentir, pour éviter de confondre l’action et l’agitation.
C’est une très belle maxime estivale.