Tout va trop vite, c’est bien connu. Il faut ralentir. Il faudrait. Et pourtant, ce n’est pas facile.
Je pense que le meilleur outil pour y arriver, c’est un appareil photo. Ça force à relever le regard. Ça invite à voir les couleurs, les contrastes, à sourire devant les coïncidences, les superpositions. Ça donne le goût d’écrire.
Pas facile l’hiver, à Québec. Plus facile le printemps, à Paris.
Prendre une photo, prendre une pause, écrire.