Il y a au moins deux façons de suivre une course à la chefferie au sein d’un parti politique: en observant et en militant. J’ai fait le choix de m’engager.
J’ai déjà expliqué pourquoi j’ai fait le choix d’appuyer Pierre-Karl Péladeau dès le début de la course.
Un appui à Pierre-Karl Péladeau | Blogue | 29 octobre 2014
L’importance — la nécessité! — de tout faire pour que le Parti Québécois redevienne une force politique dans la Capitale-nationale, est devenue mon principal cheval de bataille politique au cours des dernières années (et je ne suis heureusement pas le seul!). J’ai senti au cours des derniers semaines que cela était enfin compris.
Le grand rassemblement qui a réuni hier soir plus de 600 personnes à Québec, et les discours auxquels il a donné lieu, l’ont d’ailleurs bien démontré.
Je retiens comme exemple, cet extrait d’un texte publié un peu plus tôt aujourd’hui, sur Facebook, par Pierre-Karl Péladeau:
«Je le dis et je le répète. Il est essentiel pour le Parti Québécois de renouer politiquement avec les habitants de notre belle capitale. J’ai beaucoup d’ambition pour la Ville de Québec, qui a tout ce qu’il faut pour devenir la capitale d’un pays, au même titre que Londres, Paris et Washington.
Pour retrouver le chemin de la victoire, nous devons dès aujourd’hui travailler tous ensemble, d’arrache-pied, afin de tisser des liens profonds et durables avec les citoyens de Québec. Je m’y engage personnellement.
Pour m’accompagner dans cette tâche, je tiens à souligner la détermination et le courage de l’homme d’affaires Clément Laberge, qui se présentera sous peu dans la circonscription de Jean-Talon. Le Parti Québécois et la politique en générale ne peuvent que bénéficier de l’apport d’un homme de sa trempe.»
Source: Québec, c’est le coeur du pays | Facebook | 30 avril 2015
Comme quoi on avance!
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Photo tirée de la page Facebook de Pierre-Karl Péladeau