
1er janvier 2021. Enfin!
Mais pourquoi enfin!, d’ailleurs?
Je pense qu’on dit ça parce qu’on a tous besoin de se donner des objectifs — et de pouvoir se réjouir de les avoir atteints. Surtout par les temps qui courent! On s’est rendu en 2021. Bravo nous! C’est un peu ça…
J’ai écrit 85 textes sur mon blogue en 2020. Des textes plus variés que jamais. J’ai essayé des choses, et je compte bien continuer dans les prochains mois.
J’ai relu quelques-uns de ces textes ce matin. Je retiens particulièrement celui que j’ai écrit le 20 mars, après une semaine de confinement:
«J’ai l’impression que la question la plus déterminante à ce stade-ci est de savoir si, au sortir de tout ça, dans quelques mois, ce sont plutôt les nouvelles contraintes qui influenceront notre avenir ou si ce sont plutôt les nouveaux possibles. (…) Dans le premier cas, la pandémie aura plombé notre avenir pour longtemps alors que dans le second elle nous aura peut-être, au contraire, ouvert de nouveaux horizons. Je choisis d’être optimiste.»
Neuf mois plus tard, je reste optimiste. L’épreuve se prolonge, c’est vrai, c’est encore difficile, mais je crois encore que les nouveaux possibles vont finir par l’emporter sur les contraintes.
Sauf que ça ne se fera pas tout seul! Il faut qu’on prenne soin de nous — pour se rendre au bout de l’épreuve… et, pour ça, il faut qu’on continue de porter particulièrement attention au beau et au bon, qu’on s’émerveille et qu’on partage.
Pour cette raison, je me dis que ce qui sera le plus important en 2021 ce sera de s’exercer à voir les possibles, même quand ils sont bien cachés, de se pratiquer à sortir des sentiers battus, d’expérimenter — et d’oser essayer de nouvelles choses!
C’est comme ça qu’on va pouvoir passer à travers l’année, un jour à la fois, avec le sourire, et se préparer à rebondir en 2022.
Ça n’a jamais été plus important de se préparer à changer le monde, parce que la fin de la pandémie devrait nous offrir des occasions exceptionnelles pour le faire.
Le monde ne va pas changer par lui-même: c’est nous qui devrons le changer.
Si on le souhaite, autant s’y préparer.
Go 2021! On t’attend de pied ferme!
Bonne année à vous tous, Clément! Je nous souhaite d’heureuses retrouvailles, quand le danger sera éloigné. Et tout comme toi, je demeure optimiste, même si j’ai des moments de découragement quand je vois certains comportements. J’ose pensé que la bienveillance fera oublier l’intolérance qui a semblé vouloir s’installer, et que nous garderons en tête une ou deux leçons de cette période de réflexion qui nous a été imposée.
Au plaisir de vous revoir xxx
Éternel optimiste, va! 😉 Bonne année et au plaisir de continuer à te lire en 2020.
Arrrggh les doublons de commentaires! Désolée! Une des raisons pour lesquelles je ne laisse presque jamais de commentaire sur ton blogue (même si je te lis régulièrement) c’est parce qu’il faut ouvrir une session WordPress et comme je lis mon fill RSS sur mon iPad (qui ne semble jamais se rappeler de mon compte WordPress), je me décourage d’avoir à me logger à chaque fois… Ça devrait être simple mais à chaque fois il semble y avoir un ennui. Bon, j’arrête de me plaindre et je te souhaite bonne année à nouveau!
Bonne année Clément! (Et bravo, tu fais écrire Martine malgré tout, ha!)
Ha ha! Bonne année à toi aussi, Helene!
Écrire (publiquement) encore un peu plus en 2021 — c’est une belle résolution ça (je parle pour moi, bien sûr!).
Bonne année à toi aussi Helene! Et merci pour tous les textes, images et réflexions partagées en 2020! Précieux. Je te souhaite une année un peu plus simple. Et la santé!
Éternel — par choix! Parce qu’il le faut! (et oui, désagréable confusion de login avec wordpress… j’espère que ça se simplifiera en 2021)
Oui… et la période de réflexion risque bien de se prolonger de quelques mois, voire de s’intensifier. On n’a certainement pas terminé de tirer les conclusions de tout ça et de commencer à mettre en oeuvre les actions qui s’imposent — dans bien des domaines.
Encore quelques mois avant de pouvoir mettre les pieds au fond, se donner un élan et remonter? J’y crois.
Et vivement de se revoir — au cours de l’été, à l’occasion d’une embellie?
Ah oui, vivement que 2021 soit plus simple! Légère!