Maisons d’édition québécoises sur Facebook

Je tente de dresser la liste des maisons d’éditions québécoises qui ont une présence sur Facebook, sous forme de personne, de groupe, de page… etc.

Mes premières découvertes:

Epizzod.com173 membres
Hamac — 70 membres
Les Allusifs72 amis
Héliotrope84 fans

… mais cela me semble tellement faible que je dois mal m’y prendre… Vous en connaissez d’autres?

22 réflexions sur “Maisons d’édition québécoises sur Facebook

  1. Il faudrait en fait regarder toutes les maisons d’édition francophones qui sont sur Facebook et surtout regarder leurs usages de l’outil (de même pour les auteurs). Car l’essentiel n’est plus de savoir s’il faut ou non être sur Facebook – il faut, malgré les nombreux défauts -, mais comment on s’en sert. Je me suis abonné aux groupes des rares maisons qui y sont et force est de constater que l’usage est encore bien hésitant. La plupart m’ont envoyé leur voeux (bof). Certaines me font part de chacune de leurs nouveautés (bof, ça vire vite au spam). Comment anime-je un réseau de gens qui disent m’apprécier sur Facebook ? Qu’est-ce que je leur propose comme actualité ? Comment je fais vivre le groupe pour que ce ne soit pas que moi éditeur qui propose de l’actualité sur ce groupe ?, etc. Pas si simple en fait. Mais les vrais questions sont dans le comment. Faut-il que j’ai un groupe au nom de ma maison, ou me faut-il un groupe plus large d’amateurs de littérature ? Pour l’instant, aucun par exemple ne propose d’offrir des livres pour en faire des critiques. Aucun ne s’en sert pour déposer des critiques vue ailleurs. Aucun ne fait d’annonce d’évènements où se rendent ses auteurs. Bref, il y a de quoi faire pour développer des pratiques, des méthodo, etc.

  2. @Hubert: il est vrai que nous pourrions regarder/analyser les usages actuels de Facebook par les éditeurs francophones, mais est-ce qu’il ne serait pas encore plus intéressant de développer un ou deux « espaces exemplaires » en aidant/accompagnant collectivement une ou deux petites maisons d’édition à relever ce défi?

    Y aurait-il des maisons d’édition volontaires? Si oui, je les invite à se manifester en ajoutant un commentaire ci-bas.

  3. Je me suis posée les mêmes questions qu’Hubert récemment au sujet de notre page Hamac. Il doit bien y avoir des trucs simples pour dynamiser tout ça sans que ça nous demande des heures.

    Moi, ça me tente d’être volontaire, voyons voir ce qu’en dira mon directeur…

  4. Le directeur est volontaire pour toutes les expériences touchant la toile. Personnellement je ne pense pas que Facebook soit l’outil idéal mais allons-y et essayons !

  5. Bonjour,

    Alto aura bientôt un groupe sur Facebook. Tout comme Gilles, qui a déjà montré qu’il a le web dans le sang, je suis toujours intéressé à expérimenter de nouvelles façons de faire connaître la littérature d’ici.

    Bonne journée,

    Antoine Tanguay
    Directeur
    Alto

  6. Je me pose la même question depuis que j’ai ouvert mon groupe sur mon roman sur Facebook. Que faire maintenant ? Rejoindre le plus de monde mais pour faire quoi ? J’ai déjà un blogue, un site, alors ce groupe finalement j’en fais quoi ? Pour l’instant, je n’ai pas vraiment de réponse. Réflexions à suivre…

  7. Depuis ces derniers mois, est-ce que les réflexions, conclusions ou simplement essais ont progressé sur cette question de l’usage de Facebook, ou des réseaux sociaux en général, par les maisons d’éditions ?

  8. Bonjour Clément,
    Beau petit exercice et le résultat parle de lui-même! tu devrais faire ce même petit exercice pour les librairies québécoises, c’est encore pire! Et puis, je rejoins également Hubert Guillaud dans son raisonnement: ce n’est pas le tout d’être sur Facebook ou sur Twitter, encore faut-il savoir communiquer. La plupart des pages fans sont inintéressante par ceux qui les animent oublient le fondement même des réseaux sociaux: l’échange et le partage. Or, ces pages de fan ne font qu’une chose: le moi, moi, moi, moi. Aucun échange avec le lecteur, aucune idée n’est mise en avant. Ils se servent de leur page facebook comme d’un vulgaire babillard. Ce n’est pas comme cela que l’on se créé une aura sur les réseaux sociaux. Il faut échanger avec ses fans, ne peut avoir peur de parler de l’actualité des autres et pas seulement uniquement la sienne. Il faut aussi amener les gens à ses questionner en donnant son avis sur l’actualité du moment. Bref, je me désabonne de ses pages fans rapidement parce qu’elle n’apporte absolument rien. C’est dommage.

  9. Je crois que l’objectif des fans n’est pas d’être ami avec une entreprise mais avec ce qu’elle représente, les valeurs qu’elle défend, les auteurs qu’elle représente. Pourquoi, les éditeurs de ces pages de fans n’organisent pas tout simplement des rendez-vous avec les auteurs et le fans afin qu’il puisse chatter ensemble. Cela ne coûte rien à faire, juste un peu de temps mais au moins, cela rend vivant une page de fans. Les fans veulent être en contact avec les auteurs des livres qu’ils ont aimé.

  10. Et c’est une maison d’édition québécoise, même si le fait qu’on les trouve dans les Fnac, Virgin et 1000 autres points de vente en France fait parfois penser que ça doit être français…

  11. Bonjour,
    il y a Les (nouvelles) Éditions de La Grenouillère sur Facebook! Venez y jeter un coup d’oeil! Nous annonçons nos parutions et notre prochain lancement le 16 avril prochain, dans le cadre du Salon international du livre de Québec. A bon entendeur! :-)

  12. Bonjour,
    il y a Les (nouvelles) Éditions de La Grenouillère sur Facebook! Venez y jeter un coup d’oeil! Nous annonçons nos parutions et notre prochain lancement le 16 avril prochain, dans le cadre du Salon international du livre de Québec. A bon entendeur! :-)

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