26 décembre 2012
Sur le bateau qui nous amène de Montevideo à Buenos Aires j’écoute Thomas Hellman chanter les mots de Roland Giguère.
L’eau couleur de lion scintille. Le ciel est s’est éclairci jusqu’au bleu. Azul.
La poésie est là, omniprésente.
Les mots-flots s’abattent sur la plage blanche où j’écris que l’eau n’est plus l’eau sans les lèvres qui la boivent.
Les mots peints sur mon mur de chambre quand j’ai connu Ana.
Les mots flots. La plage blanche. Le livre de sable.
Aujourd’hui, je suis là. Avec Roland Giguère, à la rencontre de Borges.
Une réflexion sur “Des mots flots au livre de sable”