Québec 1989-2019, une semaine plus tard

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J’ai publié dimanche dernier mon histoire personnelle du Québec de 1989 à 2019. Comme une façon de réfléchir à haute voix sur mon état d’esprit politique à l’aube d’une nouvelle élection.

J’ai choisi d’en faire un site web autonome. Un ami m’a aussi rendu le service de convertir tout ce texte aussi en format ePub afin d’en faciliter la lecture dans les applications de lecture de livres numériques. 

Quel lectorat le texte a pu rejoindre une semaine plus tard? 

Pour le plaisir de partager — et de réfléchir ensemble à la diffusion des textes dans l’univers numérique — voici le bilan de la semaine: 

  • 218 personnes ont lu la première page.
  • 71 personnes ont lu la dernière page.
  • 35 personnes ont vraisemblablement lu le texte entier dans sa version web.
  • 13 personnes ont téléchargé le texte dans sa version ePub.

Ce résultat a été obtenu avec une diffusion très sobre, annoncée uniquement par une publication sur mon blogue et un tweet. Rien sur Facebook, où je ne suis plus.

Certains m’ont dit que j’aurais eu deux, cinq, voire dix fois plus de visiteurs/lecteurs si j’avais utilisé aussi Facebook pour faire connaître la publication. 

Peut-être. C’est un sujet de réflexion intéressant.

7 réflexions sur “Québec 1989-2019, une semaine plus tard

  1. Je l’ai aussi vraisemblablement lu en entier. Ahem. ;-)

    Vrai qu’avec FB tu aurais eu plus de lecteurs. Et de trolls.Et ensuite la discussion aurait peut-être dérapé, mais même dans le meilleur des cas, elle aurait fini par être perdue, noyée dans le reste, et impossible à vraiment retrouver ensuite. M’enfin, scuze, j’ai comme une montée de nausée ce soir en y pensant, un autre projet sans lien aucun, menaçant de me ramener vers la bête malgré moi. Mais dis donc, tes « Certains », là… ils n’avaient qu’à la diffuser sur FB, eux, ta publication! Ils auraient testé leur théorie illico, et t’auraient rendu service… peut-être. ;-)

  2. @Helene: peut-être que les «certains» se reconnaîtront…

  3. Les « certains » pensent que c’est plus drôle de faire la preuve que sans relation publique, les blogues sont un peu une chambre d’écho triste pour un travail qui demandait visiblement un exposure plus grand.

  4. (faut savoir ignorer les trolls et les biais de l’algorithme, une fois ça en tête, la bête peut-être notre amie.)

  5. En contrepartie… si tu savais l’espace mental (et le temps!) que ça libère de ne plus être sur Facebook…

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