— Même avec un veston? Tu es certaine?
— Oui oui! c’est vraiment toi ces espadrilles là! C’est juste que tu ne le sais pas encore…
Plus j’y pense, plus je crois qu’elle a raison.
Et c’est pas tout! J’ai aussi acheté six paires de chaussettes ultra-colorées.
Avec ces chaussettes et Comment écrire au quotidien — 365 ateliers d’écriture, de Pierre Ménard, je pense que je vais enfin être bon pour me remettre à écrire ici… et être présent sur Twitter… avec le chic-éclatant que cela exige maintenant. Veston et chaussettes à pois. Pourquoi pas?
Je me retrouve en quelque sorte le 27 décembre 2011 — et je refais le projet de me servir de mon blogue comme un espace d’écriture — un espace pour écrire plus que pour publier — sans trop réfléchir. Pour écrire plus que moins — sans avoir peur du banal, parce qu’il en faut aussi pour trouver le plus réussi.
Ce sera donc varié. De tout et de rien. Du sérieux et du frivole. De l’utile et du dérisoire. Mais ce sera.
C’est juste que je ne le sais pas encore…
Il faudrait bien que tu nous montre ces jolis pieds colorés bientôt…. en compagnie de ta famille! On a hâte de vous voir.
Oui , oui pour la couleur!
« C’est juste que je ne le sais pas encore… » C’est parfait ça aussi. C’est toujours intéressant de te lire. On ne sait jamais ce que ça va être. Merci pour les belles surprises!
Toutes ces choses constituent la vie, donc il en faut pour donner de la gaité et parfois du sérieux à la vie. Personnellement, je n’aime pas trop les chaussures, ni les choses top « flashy ». C’est trop extravagant à mon goût.