Du vent!
Du vent!
Le vent qui soulève la robe de Marilyn.
Le vent qui porte les cerf-volants; les rêves des enfants.
Le vent qui porte les paroles; les plus insignifiantes, les plus insensées, les plus indispensables.
Le ventriloque.
Le vendredi.
Un vent de changement, surtout.
C’est ce que nous avons conclu.
Une fois de plus.
Qu’il souffle!
Qu’on hisse les voiles — qu’on prenne le large!
wow, encore une fois ton optimisme me bouleverse !
c’est une conclusion et une ouverture inspirante après ce repas du vendredi.
vivement le prochain !
jmxx