27 novembre

La bibliothèque municipale de Lyon a eu une très bonne idée:

Le 27 novembre est une journée ordinaire à première vue, mais de quoi se compose l’ordinaire d’un Lyonnais en 2007 ?

Chacun est invité à écrire ici, et à témoigner de son temps : petits riens du quotidien, ou grandes nouvelles, impressions ou prises de positions, sont autant de façons de peindre le présent, notre présent.

En racontant votre journée, vous vous adresserez à l’Histoire elle-même […]

Alors, à vos plumes : lecture d’un jour, visite d’un lieu culturel ou d’une expo, parcours dans la ville, clin d’œil photo, instants pris sur le vif, réflexion ou anecdote, rédaction personnelle ou collective…Votre vie dans la ville est la première pierre de cette plateforme. Ecrivez-nous, décrivez-vous, vous avez le champ libre, vous écrivez l’histoire à venir.

Source: http://www.lyon27novembre2007.org

Culture, éducation, cités, société

« Dans une société ouverte à l’innovation, la culture et les arts doivent faire partie intégrante de la formation scolaire. L’acquisition de compétences culturelles tout au long de la vie devient, au XXIe siècle, une condition nécessaire d’intégration sociale et d’ouverture aux réalités internationales. […] Il est important que dès leur jeune âge, nos enfants aient accès à la culture à la maison, à l’école et dans leurs loisirs […] Mme Courchesne a souligné le rôle déterminant des établissements d’enseignement comme véhicules de la culture et des arts dans la métropole, rappelant l’importance de la langue française pour l’identité culturelle de la société québécoise. »

Source: Communiqué du MELS

On s’approche de plus en plus de l’idée de cités éducatives. Cela me réjouit évidemment. D’autant que ma réflexion m’amène aussi, de plus en plus, sur la dimension culturelle de tout ça.

Print is dead

Prochaine lecture:

Via lafeuille

Mise à jour: Extrait d’une entrevue de l’auteur par Joe Wikert:

« First and foremost, publishers need to rid themselves of the notion that they’re in the « book » business. (The only ones who are in the book business are printers.) Instead, publishers need to realize that they’re in the idea business. And once they start to get this reality into their heads, they’ll start to see that a digital world will offer them many more opportunities than limitations, and that an electronic world isn’t the end of Gutenberg’s invention, but is instead its latest improvement. »

Levez la main…

Le Soleil a mis sur le site Web de Cyberpresse quelques esquisses récentes d’André-Philippe Côté (pour des caricatures qui n’ont jamais été publiées).

Vous pouvez les voir ici: les esquisses d’André-Philippe Côté.

La quatrième est particulièrement GÉNIALE. Je me permets de la reprendre ici parce que ce serait vraiment trop dommage que nous en perdions éventuellement l’accès sur le site du Soleil comme cela arrive si souvent.

esquisse_APCote.jpg

Note: c’est un petit accroc au respect du droit d’auteur, c’est vrai, mais dans les circonstances, j’ai cru que cela pouvait être acceptable — je corrigerai évidemment en retirant l’image si on m’en fait la demande.

Chagrin d’école

Réveil: il fait gris à Paris.

Courriel: quelques amis m’invitent à lire ce texte au sujet de l’hécatombe orthographique à l’examen du ministère de l’Éducation.

Soupir. À lire cela, il faudrait croire que nous n’y arriverons jamais. Tout le monde sont des cancres.

Heureusement, le dernier livre de Daniel Pennac est là pour nous réconcilier avec l’exigence de l’école — et en particulier celle de ne jamais céder aux jugements simplistes et définitifs, tant sur les élèves que sur l’école elle-même.

Et dans le contexte de toute cette violence tournée vers l’école et ceux qui la font, le choix du jury du Prix Renaudot de récompenser l’ancien cancre, devenu auteur de Chagrin d’école, est un véritable baume.

Tout est dans le présent de l’incarnation. C’est le temps qui doit obséder de l’école.

C’est une lecture indispensableque je n’ai pas encore tout à fait terminée… j’y reviendrai donc.

L’étincelle de l’intérêt commun

Lu récemment sur le site de Radio-Canada, au sujet de Vancouver:

« …chaque ville a une vision différente. Au coeur de cette vision, il y a le rêve des citoyens qui souhaitent faire de leur ville une cité remarquable pour le futur. L’expérience de Vancouver a réussi […] parce que des milliers et des milliers de citoyens se sont impliqués dans ce qu’il appelle la mission collective. […]

Larry Beasley défend ce type de développement des villes, qu’il appelle proactif. Il dénonce leur développement accidentel. […]

Il va plus loin en insistant sur l’importance de redécouvrir  » l’étincelle de l’intérêt commun  » ».

Je rêverais qu’on aborde sous cet angle la présente campagne électorale municipale à Québec…

Réglementer Internet?

On pousse de hauts cris depuis hier dans la blogosphère parce que l’ADISQ (et derrière elle 17 autres associations de producteurs) demande au CRTC de réglementer Internet. Je suis perplexe. Il y a plusieurs choses que je ne comprends pas.

Je ne comprends pas ce qui rend si péremptoirement condamnable toute idée de réglementation. Que ce ne soit sans doute pas la piste à privilégier, certes, mais je ne crois pas pour autant que d’évoquer cette idée soit forcément faire preuve de fascisme… même si l’ADISQ a été, il faut bien le dire, invraisemblablement maladroite en citant la Chine en exemple à cet égard (même avec des nuances). On peut réglementer plein de choses sur Internet sans attaquer ses fondements: nature de la pub, partenariats industriels, etc.

Je ne comprends pas non plus que huit ans après l’apparition de Napster, et après avoir pu voir se développer tous les nouveaux outils de partage et de diffusion de la musique, les représentants de l’industrie québécoise puissent encore croire que la solution se trouve dans le type de réglementation qu’ils demandent aujourd’hui.

Je ne comprends pas non plus comment les actionnaires des sociétés de productions membres de l’ADISQ (par exemple) peuvent encore appuyer ce genre de management à la tête de leurs entreprises et pourquoi ils maintiennent en poste des gens dont la stratégie semble pour l’essentiel consister à freiner le développement des nouvelles pratiques de consommation culturelle, voire à une partie des nouvelles pratiques culturelles en elles-mêmes.

Je ne comprends pas les gens qui n’ont pas compris que dans un espace comme le Web, où il y a autant de manières d’organiser le contenu qu’il y a d’Internautes, il est inutile de réclamer « que les contenus canadiens soient accessibles en priorité ». Il faut plutôt s’assurer que ces contenus existent sur le Web, qu’ils soient omniprésents et qu’ils soient rendus accessibles dans tous les système qui permettent aux gens de les inscrire dans leur quotidien, en fonction de leurs besoins et de leurs intérêts. Et faire confiance… faire confiance que les québécois aiment la culture québécoise, ce que je crois, et qu’ils choisiront de s’en faire partie prenante.

Je ne comprends pas pourquoi l’ADISQ ne se penche pas plutôt sur des études de cas concrètes pour chercher des manières de répondre aux nouveaux besoins et comportements des internautes de tous les âges et de tous les milieux. Est-ce que, de guerre lasse, l’ADISQ n’aurait abdiqué sur la possibilité que les principaux acteurs de l’industrie partagent une réflexion stratégique sur le sujet et que, par facilité, elle se tourne vers le gouvernement en demandant plutôt des règlements? Je ne sais pas, mais cela me semble plausible.

Alors, si l’ADISQ reste sourd à tous ces appels, pourquoi est-ce qu’on n’ouvre pas un wiki pour décrire ces besoins et proposer des manières plus adéquates pour l’industrie de s’y adapter?

Et si on commençait par un cas que nous connaissons bien: celui d’un blogueur québécois de 30 à 40 ans, bon acheteurs de produits culturels, et qui ne lit que très peu les journaux et magazines dits culturels des empires médiatiques sur lesquels s’appuient aujourd’hui l’industrie… où et comment l’ADISQ devrait elle s’assurer de faire exister les contenus québécois? quels sites les producteurs membres de l’ADISQ devraient-ils s’assurer de connaître? dans quels fils rss devraient-ils s’assurer d’être présents? dans quels répertoires? dans quels services et boutiques en ligne?

Quelqu’un a-t-il la capacité d’ouvrir un wiki dans lequel nous pourrions réunir ces scénarios et inviter les gens à les documenter? Le scénario d’un ado? d’un fou de jazz? d’un amateur de ceci, de cela? celui d’un québécois à l’étranger?

Je dis cela comme ça… parce qu’il me semble plus sain de faire appel aux réseaux pour comprendre les réseaux que de faire appel au CRTC en souhaitant qu’il réorganise les contenus du Web à la place des internautes eux-mêmes.

La réglementation pourra par la suite plus légitimement être invoquée, pour stimuler de nouvelles approche des marchés culturels plutôt que pour défendre des méthodes archaïques d’assurer le rayonnement des entreprises culturelles québécoises.

Au sujet des Francs tireurs

Et tiens, en complément (de ce texte), toujours en rapport avec ma perplexité devant l’actualité politique québécoise de la dernière semaine — au sujet de l’invraisemblable entrevue que la ministre de l’Éducation a accordée à Patrick Lagacé dans le cadre des Francs tireurs.

Cela ne mérite pas un très long texte, ce serait faire trop d’honneur à cette déplorable démonstration d’ignorance. Néanmoins, en deux points:

1. Je n’aime pas le genre de journalisme adopté par Patrick Lagacé, mais je ne peux pas le lui reprocher; d’une part parce que c’est le format de l’émission (que connaissait la ministre en acceptant l’entrevue) et d’autre part parce que je pense qu’il avait délibérément choisi ce ton franchement ordurier précisément pour obtenir ce qu’il a obtenu.

2. Je suis sidéré qu’une ministre d’expérience comme Michèle Courchesne puisse tomber dans un panneau pareil — avec une candeur que je qualifierais volontier de masochiste. Comment est-il possible de ne pas avoir anticipé le désastre que ses propos allaient provoquer, réponses après réponses, dans les jours suivants? Sidéré, je pense que c’est le bon mot (j’en adopterais même volontier un plus fort encore… des suggestions?).

Mario nous dit que la ministre a consacré les derniers jours à faire du damage control. En ce qui me concerne, c’est trop peu trop tard.

Et pour ceux qui sont tentés de saluer le courage de cette ministre qui aurait osé « ne pas utiliser la langue de bois », je dirai que ce n’est pas parce qu’on « parle vrai » qu’on dit la vérité et qu’il est encore possible de dire à quelqu’un (et même à tout un ministère) ses quatre vérités sans tomber dans la démagogie et sans flirter avec le mépris. Cela exige toutefois beaucoup plus de rigueur que la ministre n’en a démontré cette semaine.

Rien d’autre à dire sur le sujet.

Au sujet de l’identité québécoise

La lecture de l’actualité politique québécoise m’a laissé perplexe toute la semaine… en particulier la lecture des articles en rapport avec les projets de lois présentés par Pauline Marois et Daniel Turp au sujet de l’identité et de la constitution québécoise. Et plus les jours passaient, plus j’étais inconfortable parce que je n’arrivais pas à me faire une opinion sur plusieurs des interrogations que me communiquaient des parents, des amis et des collègues de travail à ce sujet.

Tout cela m’a rappelé que la démocratie est un exercice exigeant pour lequel la lecture des médias est parfois insuffisante… et je me suis résolu à consacrer trois bonnes heures à lire les deux projets de loi qui font tant jaser (ça ce n’est pas très long) ainsi que plusieurs documents complémentaires. Pour référence:

Projet de loi 195 sur l’identité québécoise (en pdf)

Projet de loi 196 sur la Constitution québécoise (en pdf)

J’ai bien sûr fait cet exercice avant tout pour ma réflexion personnelle — et pour pouvoir discuter et débattre adéquatement avec mon entourage — mais puisque la démocratie s’appuie d’abord et avant tout sur le partage des points de vue (et que tout le monde n’a sans doute pas encore pris la peine de lire les textes dont les journaux font leur grands titres depuis quelques jours) j’ai choisi de partager les fruits de ma réflexion.

Ma conclusion au terme de ces trois heures? Avant tout le constat d’un sérieux dérapage médiatique et politique. Je pense que Jean Charest et Mario Dumont font preuve d’une grande irresponsabilité (ou d’un indécent opportunisme) en diabolisant les textes présentés et en laissant pourrir une situation qui mériterait bien plus de considérations. Et certains journalistes me semblent tomber dans le panneau un peu facilement.

Vraiment, à la lecture des deux projets de loi présentés cette semaine, il me semble tout à fait évident qu’ils méritent d’être étudiés par l’Assemblée nationale. Ils ne sont certes pas parfaits, mais ce sont deux projets de loi solides et cohérents et ne sont certainement pas xénophobe comme certains essaient de le faire croire. Je pense que c’est surtout la frustration de s’être fait couper l’herbe sous le pied qui guide la réaction du PLQ et et de l’ADQ.

Il y a néanmoins deux points qui sont effectivement assez chauds dans le projet de loi 195:

1. le fait de lier la citoyenneté québécoise à « une connaissance appropriée de la langue française » (proposition de modification de l’article 49.2 du Code civil du Québec)

2. Les modifications proposées à l’article 49.6 du Code civil du Québec concernant l’éligibilité aux élections municipales, scolaires et législatives, le financement des partis politiques et le droit d’adresser des pétitions à l’Assemblée nationale

CONCERNANT le fait de lier la citoyenneté québécoise à « une connaissance appropriée de la langue française »:

Il faut être bien conscient que la disposition ne s’appliquerait qu’aux nouveaux arrivants (postérieur à l’entrée en vigueur éventuelle de la loi) et n’aurait aucun effet rétroactif ni d’effet sur les enfants de parents ayant la citoyenneté québécoise au moment de l’entrée en vigueur éventuelle de la loi. Cela peut/doit évidemment faire l’objet de discussion mais je pense que c’est défendable, tant d’un point de vue moral que politique et constitutionnel.

Il existe d’ailleurs une disposition très semblable dans la loi canadienne. Le site de Citoyenneté et immigration Canada précise: « Le français et l’anglais sont les langues officielles du Canada. Vous devez parler suffisamment bien l’une ou l’autre de ces langues pour communiquer avec autrui. Autrement dit, vous devez connaître suffisamment le français ou l’anglais pour comprendre les gens et vous faire comprendre d’eux. » (référence).

La proposition de Pauline Marois me semble même plus progressiste que la loi canadienne, notamment parce qu’elle donne au gouvernement du Québec l’obligation de fournir aux personnes qui immigrent sur son territoire les moyens d’acquérir une connaissance appropriée de la langue française.

Je pense qu’il faut maintenir cet aspect du projet de loi 195.

CONCERNANT l’éligibilité aux élections municipales, scolaires et législatives, le financement des partis politiques et le droit d’adresser des pétitions à l’Assemblée nationale:

Je continue de croire que c’est une proposition particulièrement maladroite. Je pense que c’est uniquement le droit de vote aux mêmes élections qui peut être légitimement lié à l’obtention de la citoyenneté (l’éligibilité le sera par voie de conséquence, en vertu de la loi électorale, qui rend éligible aux élections les personnes ayant droit de vote aux mêmes élections). En d’autres termes, je ne vois pas pourquoi distinguer l’éligibilité et le droit de vote. Un principe me semble important en démocratie: quand on a le droit de voter on a droit de se présenter aux élections; quand on ne l’a pas, on est pas éligible.

Par conséquent, si on tient à cet élément de la loi, allons au bout du raisonnement et réservons le droit de vote aux élections municipales, scolaires et législatives aux citoyens québécois. D’autant plus que formulée tel qu’il l’est actuellement, cet article du projet de loi donne inutilement l’impression que nous ne faisons pas confiance à la démocratie québécoise. En effet, si les citoyens québécois (de toutes origines) sont assez idiots pour élire comme représentant une personne qui n’a pas une connaissance suffisante de la langue commune et qui choisi de se présenter aux élections… c’est bien leur problème après tout!

Dans ces conditions, alors que j’étais dans un premier temps très réfractaire à cette disposition du projet de loi 195, je m’y rallierais maintenant volontier en souhaitant qu’il fasse l’objet de discussions officielles, à l’Assemblée nationale et en commission parlementaire (quitte à me laisser convaincre au cours du processus qu’elle doit être abandonnée).

Je demeure néanmoins toujours opposé aux deux autres aspects de la proposition, soient celles concernant le droit de participer au financement des partis politique et celui d’adresser des pétitions à l’Assemblée nationale. Je ne vois pas l’intérêt de ces deux éléments dans la mesure où s’il me semble utile de rappeler que l’usage d’une langue commune est nécessaire pour participer aux délibérations démocratiques, il doit demeurer possible pour toutes les personnes résidant au Québec de se faire entendre de diverses façons par les différentes instances démocratiques et, ce, même quand ils ont une connaissance insuffisante de la langue française.

DE FAÇON GÉNÉRALE, je pense que ces deux projets de loi sont plutôt cohérents et qu’ils n’ont rien de xénophobe — considérant de plus qu’ils ne sont qu’à un stade de proposition préliminaire et qu’ils pourront être modifiés par l’Assemblée nationale. Il ne fait pas de doute qu’ils devront être améliorés (notamment pour préciser de façon très restrictive l’usage qui pourra être fait de cette nouvelle citoyenneté québécoise, parce que les soins de santé et l’éducation, par exemple ne devraient évidemment pas être réservés aux personnes possédant la citoyenneté québécoise), mais je crois qu’ils constituent une importante contribution pour définir à peu près adéquatement les conditions de la participation à la vie démocratique du Québec. En ce sens, je pense que nous pouvons dire que ces projets (et en particulier celui sur la citoyenneté québécoise) ne visent pas à définir le « Nous » par rapport au « Eux ». Ils visent plutôt à définir les contours d’un « Ensemble » nécessaire à toute forme de solidarité.

Il aurait bien sûr été préférable de soumettre toutes ces idées au débat public dans d’autres circonstances, qui auraient moins prêté flan à la polémique et à la polarisation des opinions, mais bon, puisqu’il en est maintenant ainsi… il nous reste le courage et la sagesse politiques pour nous en sortir. J’espère que les chefs des trois principaux partis, les journalistes et aux principaux commentateurs politiques pourront rapidement nous guider sur cette voie et que nous pourrons ainsi éviter de déplorables dérapages.

Les compétences en images

Mario nous annonçait plus tôt cette semaine la mise en ligne des blogues de PROTIC.

Au cours de mon exploration de cet extraordinaire univers pédagogique, je suis resté stupéfait devant les schémas développés par mon ami Michel Desbiens pour illustrer les compétences qu’il aide ses élèves à développer. Voyez par vous même, en n’oubliant pas de cliquer sur les images miniatures:

Schéma de la compétence 1 en mathématique

Schéma de la compétence 2 en mathématique

Compétence 3: communiquer à l’aide du langage approprié

Chapeau Michel pour ce remarquable travail! Il me semble que François et toi devriez regrouper vos schémas pour en faire un site de référence (et pourquoi pas un livre?!)

Widgets

J’essaie généralement d’éviter la confusion des genres en utilisant ce blogue pour des fins trop professionnelles (encore que certains souhaiteraient que je le fasse davantage!).

Cela étant dit, je ne résiste pas ce soir à solliciter ceux et celles qui passent par ici pour m’aider à faire quelques tests en rapport avec les widgets dont les équipes d’Editis ont récemment livré une première mouture (de nombreuses améliorations à suivre dans les prochaines semaines et si cela intéresse, je pourrai en faire la chronique ici au fur et à mesure) et que nous commençons à intégrer dans quelques sites, comme ici, ici et , notamment. Il en avait été brièvement été fait mention sur La feuille il y a quelques semaines.

Mieux: expérimentez celui-ci:

document.write(‘

‘);var monFlash = new FlashObject(‘http://www.nsxa-server.net/Dagobah.WebServices/book/editis.swf?ean13=9782258063310&bookshop=pressesdelacite&url=http://www.nsxa-server.net/Dagobah.WebServices/book&url_client=’+document.URL,’editis’,185,326,8,’FFFFFF’);monFlash.write(‘pressesdelacite_9782258063310_pf’);

– cliquez sur les flèches en bas à droite pour feuilleter en petit format;
– cliquez sur l’image de la couverture pour feuilleter en plus grand format;
– cliquez sur le logo éditeurs (à améliorer) pour visiter le site de l’éditeur.

Le test que j’aimerais que certains/plusieurs d’entre vous puissiez effectuer est assez simple. Il concerne la fonction de diffusion du widget qui, à la manière des vidéos de Youtube, permet d’insérer un extrait d’un livre dans un site Web afin de faciliter sa présentation. Dans un blogue, par exemple, au moment de faire un commentaire à la suite de la lecture d’un roman ou de la découverte d’un atlas.

Simple: cliquez sur le petit plus dans le coin inférieur gauche d’un des deux widgets présent dans ce texte et insérer le petit bout de code dans une entrée de votre blogue. Signalez-moi dans les commentaires où vous l’avez fait que nous puissions vérifier dans quel environnement cela fonctionne et où cela ne fonctionne pas (pour les amateurs de technique: nous savons que l’affichage par la commande script ne fonctionne pas partout et offrirons bientôt l’insertion par embed et par iframe, voire d’autres).

document.write(‘

‘);var monFlash = new FlashObject(‘http://www.nsxa-server.net/Dagobah.WebServices/book/editis.swf?ean13=9782735702879&bookshop=acropole&url=http://www.nsxa-server.net/Dagobah.WebServices/book&url_client=’+document.URL,’editis’,337,326,8,’FFFFFF’);monFlash.write(‘acropole_9782735702879_pf’);

Mieux encore, faites un petit commentaire sur l’un des livres (cet atlas, par exemple, qui est fantastique et qui gagne encore plus qu’un roman à être découvert sous cette forme) et avec un peu de chance je pourrai vous citer en exemple et montrer votre blogue dans chacune de mes présentations au cours des prochaines semaines. Et puis, tiens, mieux encore, il se pourrait bien que je fasse cadeau d’un exemplaire de chacun des livres à un ou deux blogueurs qui m’auront particulièrement aidé dans ce travail d’expérimentation! ;-)

Merci à l’avance! Et bienvenue à tous les commentaires et suggestions. Tout cela est un work in progress.

Note: Sur certains widgets (mais pas ceux-ci, il y a aussi un bouton pour acheter le livre directement auprès d’une sélection de librairies en ligne).